Chapitre III.
Chapitre II.
Chapitre III.
Le dernier chapitre du livre ne répond déjà plus tout à fait à la situation présente : je me suis contenté d’y ajouter quelques notes indispensables.
Chapitre I Vue générale du seizième siècle 1.
Chapitre VII La littérature française et les étrangers Fin des influences italienne et espagnole.
Chapitre V.
Chapitre XI.
Chapitre deuxième Retour au précieux.
Chapitre III.
Chapitre XII.
Chapitre V.
Chapitre XI.
Chapitre XXVIII.
Chapitre III : Théorie psychologique de la matière et de l’esprit.
Chapitre XXXI Années 1674 (suite de la huitième période). — Inquiétudes jalouses de madame de Montespan. — Les enfants légitimés sont présentés à la reine. — Le roi est même enchanté du duc du Maine. — Il donne 100 000 f. à madame Scarron. — Mauvais procédés de la marquise de Montespan envers madame Scarron. — Embarras du roi. — À la fin de l’année, nouveau don de 100 000 f. à madame Scarron.
Chapitre VIII.
Chapitre XIII,les Atrides.
Chapitre premier L’ubiquité de la conscience et l’apparente inconscience I.
Voir plus haut le chapitre sur le vers libre.
Chapitre troisième De la sympathie et de la sociabilité dans la critique.
Chapitre IV La folie et les lésions du cerveau Dans les sciences physiques et chimiques, lorsque l’on veut connaître les conditions qui déterminent la production des phénomènes, on fait ce que l’on appelle des expériences : on supprime telle ou telle circonstance, on en introduit de nouvelles, on les varie, on les renverse, et, par toute sorte de comparaisons, on cherche à découvrir des effets constants liés à des causes constantes.
Chapitre VII Le langage et le cerveau La question des rapports du cerveau et de la parole a beaucoup agité le monde médical dans ces derniers temps et a même occupé plusieurs séances de l’Académie de médecine50.
Chapitre I : Une doctrine littéraire12 Faut-il une doctrine en littérature ?
Chapitre II.
Un sourire calme et béat inondait sa physionomie ; on aurait été mal venu à le déranger dans ces moments-là : c’est qu’il composait alors une page de George Sand ou un chapitre de Michelet.
Si mes scrupuleux et redoutables censeurs veulent prendre la peine de lire le second discours sur l’histoire ecclésiastique, par M. l’abbé Fleury, que personne, je pense, n’accusera d’impiété ; ils y trouveront au chapitre XVI, ces propres paroles : St.
I, chap.
Chapitre premier.
Chapitre XV.
Ce chapitre date de 1855.
Comme Montesquieu, dans cette partie de son ouvrage, il se rompt et s’émiette en petits chapitres, moins cassés et moins cassants que ceux de Montesquieu dans l’Esprit des lois, et qui n’ont malheureusement pas le fil tranchant et la brièveté piquante que l’épigrammatique Montesquieu, cet esprit aigu, donne aux siens.
Il y en a quelques-uns d’heureux ; mais vouloir brasser et jauger dans un chapitre ce torrent d’ouvrages et de mérites divers que Barot précipite devant nous, ce serait faire ici ce que nous lui avons reproché.
L’idée, du reste, qui plane au-dessus du livre tient dans l’épigraphe d’un des plus importants chapitres.
Et voilà le soufflet, annoncé au commencement de ce chapitre, que le colonel Ardant du Picq allonge à la philosophie, de Samain experte et militaire !
Quoique son Esprit des Lois ait trente-deux livres et un nombre infini de petits chapitres coupés comme les losanges de l’habit d’Arlequin, son esprit, à lui, très subtil, n’avait pas d’ampleur.
Ce chapitre date de 1853.
I Ce n’est pas un petit embarras pour la Critique, obligée de resserrer ses observations dans le cadre étroit d’un chapitre, que de parler d’un ouvrage qui compte en ce moment quinze énormes volumes, et cependant il le faut ; c’est de nécessité.
Qu’importe qu’il soit inférieur par d’autres côtés ; que la composition y manque de rigueur ; que les chapitres, très savants, du reste, sur les organisations militaires, judiciaires, littéraires, économiques, du temps de Saint Louis, y soient trop séparés du récit avec lequel ils auraient pu s’assimiler !
Assurément, cette conclusion ne peut pas étonner de la part d’un homme que j’ai appelé, au commencement de ce chapitre, plus politique que catholique, et qui, à travers tous les faits de son livre, n’est occupé qu’à chercher la tolérance, imperceptible encore, comme on cherche une aiguille dans une botte de foin… Avec Henri IV, il l’a trouvée, et il s’en régale.
II Il ne s’agit pas, d’ailleurs, aujourd’hui, dans ce chapitre, des romans de MM. de Goncourt, mais d’une de leurs biographies ; car ces historiens, qui ont bien le droit de s’appeler « les historiens du xviiie siècle », n’ont écrit l’histoire qu’à coups de biographies, et, pour ma part, j’aime cette manière individuelle de l’écrire.
Mais, enfin, quels que soient ses mérites, — et ce chapitre dira s’ils sont grands, — il n’est pourtant pas un de ces hommes qui, comme de Maistre, par exemple, ont trouvé dans l’histoire une place irréductible et cette gloire lente à venir, mais toujours grandissant une fois qu’elle est venue ; car la vraie gloire grandit dans l’éloignement, tandis que tout, ce qui n’est pas elle diminue.
Malgré ce défaut qui l’a suivi partout, excepté en ces lettres, et malgré des inconvénients bien plus graves qui tenaient à de véritables indigences de cerveau, — par exemple son manque de métaphysique et son scepticisme religieux, et même très souvent scientifique, — il n’en fut pas moins — je ne l’ai pas contesté en ce chapitre — une des forces spirituelles de son temps, mais il ne fut point le grand homme absolu qu’on l’a fait.
C’est de ce reste de société qu’était précisément la comtesse de Sabran dont il va être question en ce chapitre.
Dans le chapitre de l’homme, où le récit de la Genèse est culbuté par l’hypothèse, l’éternelle hypothèse du développement progressif de la vie et de « la création graduelle », M.
Ôtez à ce penseur pillard et frêlon celle qu’il a faite des sciences et dont j’ai parié plus haut, au commencement de ce chapitre, mathématique, astronomie, physique, chimie, biologie, science sociale et morale, qu’il classe en sciences abstraites et concrètes, et il n’a plus que les idées d’autrui, qui ne se cachent pas.
Malgré ce défaut qui l’a suivi partout, excepté en ces lettres, et malgré des inconvénients bien plus graves qui tenaient à de véritables indigences de cerveau, — par exemple, son manque de métaphysique et son scepticisme religieux, et même très souvent scientifique, — il n’en fut pas moins — je ne l’ai pas contesté en ce chapitre — une des forces spirituelles de son temps, mais il ne fut point le grand homme absolu qu’on l’a fait.
Voir Les Œuvres et les Hommes, ive volume, 1re série : Les Romanciers, chapitre 3e.
prenez, dans ce chef-d’œuvre de discussion meurtrière contre Stuart Mill et Herbert Spencer, le chapitre intitulé : « Le Conte », et dites s’il est possible d’être, en même temps, et plus fort dans le fond des choses, et d’une légèreté de langage plus lumineuse et plus plaisamment cruelle !
I Dans ce temps de boutique qui envahit et avilit tout, la librairie Lemerre, comme je viens de le dire au chapitre précédent, se distingue et rappelle l’époque où il y avait de vrais libraires en France et non pas des marchands de papier mal imprimé et mal cousu.