» Quant aux répétitions des verbes avoir et être, George Sand en a vraiment abusé, comme on l’a vu par nos extraits.
C’est un esprit analytique d’une grande précision, dont l’expression dit toujours ce qu’elle veut dire, fait vraiment pour mieux que le livre qu’il nous a donné-là.
Cela est vraiment affreux !
Et c’est qu’on ne peut plus vraiment rien en dire.
Ce regard singulier, avec quelque chose de retourné en dedans, pas très net, un peu brouillé, vraiment d’un homme qui voit des abstractions, et qui doit se réveiller pour saisir la réalité, contribuait à lui donner, quand il causait idées, un air de surveiller sa pensée et non son interlocuteur, et ce défaut devenait une espèce de beauté morale.