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1063. (1906) Les œuvres et les hommes. À côté de la grande histoire. XXI. « La Chine »

… Et malgré la plus excessive bienveillance, peut-on vraiment appeler méthode une enfilade de chapitres qui se suivent, comme les moutons de Dindenaut, et qu’on a cru classés parce qu’on leur a noué à la tête la plate cocarde d’une étiquette ?

1064. (1909) Les œuvres et les hommes. Critiques diverses. XXVI. « Odysse Barot »

J’en suis vraiment fâché pour lui, pour nous et pour son livre.

1065. (1885) Les œuvres et les hommes. Les critiques, ou les juges jugés. VI. « Joubert » pp. 185-199

Un jour, quand il était dans toute sa splendeur, l’heureux Chateaubriand, cet enfant gâté qui a toujours voulu de la lune, et qui a toute sa vie été triste, parce que c’est la seule chose que son époque n’a vraiment pas pu lui donner, l’insupportablement heureux Chateaubriand publia une lettre sur Rome — bon sujet de belles phrases — sur la suscription de laquelle le grand phraseur, ce Narcisse qui était son Écho amoureuse à lui-même, écrivit ce nom modeste et bourgeois (l’un ne veut pas dire l’autre) de Joubert.

1066. (1905) Les œuvres et les hommes. De l’histoire. XX. « Jacques Cœur et Charles VII »

La littérature vraiment utile de ce temps est la littérature historique.

1067. (1905) Les œuvres et les hommes. De l’histoire. XX. « Histoire des Pyrénées »

Cénac-Moncaut l’a-t-il vraiment gagné contre elle ?

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