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706. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — H — Houssaye, Arsène (1815-1896) »

. — Le Duel à la Tour (1856). — Le Roi Voltaire (1856). — La Symphonie de vingt ans (1867). — Le Chien perdu et la Femme fusillée (1872). — Cent et un sonnets (1873). — Roméo et Juliette, comédie (1873). — Lucie, histoire d’une fille perdue (1873). — Tragique aventure de bal masqué (1873). — La Belle Rafaela (1875). — Les Mille et Une Nuits parisiennes (1876). — Les Confessions.

707. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — K — Klingsor, Tristan (1874-1966) »

Il ressuscite sous quelques notes de vielle, de flageolet ou de cornemuse le souvenir des belles châtelaines et des pages qui hantent toujours les tours, croulantes encore sur la colline, au-dessus des chaumes. — C’est Izel : Doux musiciens, frôlez les harpes d’argent ; La reine Izel est couchée avec son page ; Doux musiciens, frôlez les harpes d’argent.

708. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — L — Lemaître, Jules (1853-1914) »

Il contenait des vers d’amour, d’une sensualité de tête tout à fait curieuse et personnelle, des « exercices » dans le genre parnassien, dont quelques-uns au moins (L’Élégie verte, par exemple, ou certaines ballades) sont de simples merveilles d’esprit et d’habileté technique, et enfin des sonnets sur les classiques français, où le futur critique des Contemporains est déjà tout entier, et qui tiennent à la fois du chef-d’œuvre et du tour de force.

709. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — C — article » pp. 69-73

La seule différence qui se trouve entre l’Ouvrage de Coutel & le sien, est que l’un est en grands Vers, rangés par quatrains, & l’autre en Vers libres : à cela près, les pensées, les expressions, les tours, les rimes sont absolument les mêmes.

710. (1913) Essai sur la littérature merveilleuse des noirs ; suivi de Contes indigènes de l’Ouest-Africain français « Contes — XVI. Le dévouement de yamadou havé »

» « — Voilà qui est bien, dit Yamadou aux Peuhl, mais, puisque je m’offre pour votre salut, je vous demande de consentir à votre tour à mes demandes !

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