Elles les touchent pourtant. […] Politique, religion, éducation, morale, à quoi ne touchez-vous pas ? […] Pourquoi donc, étant si près du but, n’y avez-vous jamais touché ? […] Quand je vous loue de votre jugement, pourquoi ne puis-je toucher au plus beau de vos dons, sans toucher au plus gros de vos défauts ? […] Plusieurs sont d’une touche supérieure, aucune n’est indifférente.
J’y apprends bien des particularités curieuses ; et ces particularités, par cela même qu’elles vous concernent, touchent aux plus grands événements et aux crises militaires décisives des dix mémorables années.
Votre touche n’est plus fière comme elle était ; votre coloris est moins vigoureux ; votre dessin est devenu tout à fait incorrect.
A voir s’avancer sous nos yeux un couple d’amants, nous discernons par la seule inclinaison des corps, qui des deux est le plus touché. […] Les doigts se touchent, les genoux se touchent : tout un être attire l’autre être, et dans la saison chaude, les femmes tristes ou légères ne tombent-elles point, comme les fruits las sur la prairie ? […] Mais c’est ici que nous touchons à la véritable originalité de Mme Renée Vivien, celle qui la différencie nettement de ses rivales littéraires. […] Car c’est ici que nous touchons au point central de notre effort, celui où les conclusions du moraliste viennent se déduire logiquement de l’enquête du psychologue. […] Dans nos Premiers Vénitiens également nous avons touché à cette question.
Je voudrais pouvoir vous communiquer sa réponse, qui m’a touché au fond de l’âme. […] Elle m’a vivement surpris et touché. […] Souvestre sur le sujet touché plus haut. […] Pourquoi donc cela n’est-il touché que vaguement dans ses mémoires ? […] Dans la nature même, un paysage inondé de lumière le touche moins qu’à demi embrumé.