C’est que la peinture de nos passions nous touche encore davantage que le portrait de nos ridicules, c’est que l’esprit se lasse des plaisanteries, et que le cœur est inépuisable.
Pourquoi l’œuvre des hommes, qui nous touche de si près, qui peut évoquer tant de souvenirs, qui devrait éveiller tant de sympathies, parlerait-elle moins à notre imagination que la nature inanimée ? […] Nous regardons comme établi ce moyen terme, que la poésie, pour atteindre son optimum d’effet, doit de quelque manière toucher le cœur ; et c’est à cette formule que nous nous en tiendrons. […] Bouleversez comme vous l’entendrez toutes les règles de la prosodie, mais ne touchez pas au rythme.
Pierre Il ne souffre pas qu’on touche à ses dieux.
Le seuil de ces hommes de bruit est assiégé d’indigences qui touchent, leur table est chargée de lettres écrites avec des larmes.
Tout le monde se touchait du coude : « Allez, allez voir !