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2495. (1870) Causeries du lundi. Tome X (3e éd.) « Sénac de Meilhan. — II. (Fin.) » pp. 109-130

Vous ne devez pas être inquiet de ce que quelques morceaux épars et isolés, tirés de ses portefeuilles, seront peut-être imprimés : ils ne pourront jamais faire un corps d’histoire, et ne présenteront aucune liaison.

2496. (1870) Causeries du lundi. Tome XII (3e éd.) « La marquise de Créqui — II » pp. 454-475

Le roman, qui est agréable, n’est que pour la forme ; tirons-en le fond, et quoique l’auteur, quand il l’écrivait, fût de quelques années plus âgé qu’en ses beaux jours d’éclat auprès du fauteuil de Mme de Créqui, soyons bien sûr qu’il avait déjà tous les mêmes jugements dans la tête et dans la conversation quand il désennuyait si bien la marquise.

2497. (1870) Causeries du lundi. Tome XIII (3e éd.) « Le maréchal de Villars — III » pp. 81-102

Ce sera surtout dans sa campagne d’Allemagne de 1707, où il put se répandre en toute liberté par-delà le Rhin, qu’il appliquera en grand sa méthode de contributions et son organisation de la maraude en pays ennemi : Je tirai de très grosses sommes, nous dit-il lui-même, dont je continuai à faire l’usage que j’avais fait de toutes les autres.

2498. (1863) Nouveaux lundis. Tome I « Benjamin Constant. Son cours de politique constitutionnelle, ou collection de ses divers écrits et brochures avec une introduction et des notes, par M. Laboulaye »

Les mots de ce genre, frappants en eux-mêmes, ont l’inconvénient de tuer la conversation ; ce sont, pour ainsi dire, des coups de fusil qu’on tire sur les idées des autres, et qui les abattent. » Benjamin Constant avait de ces comparaisons spirituelles, qui jouent l’imagination : d’imagination proprement dite, il ne faut pas songer à lui en demander.

2499. (1865) Nouveaux lundis. Tome IV « La femme au XVIIIe siècle, par MM. Edmond et Jules de Goncourt. » pp. 2-30

Elle était renfermée dans un petit sac dont on la tirait à chaque prise de tabac.

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