L’historien russe, Karamsin, n’est pas moins tendre au czar que Cantemir au sultan.
Le héros du conte a bien un fils qui abat les oiseaux tout préparés, mais encore faut-il qu’il fasse l’effort de tendre son arc et de les mettre en joue.
Et comme il faut toujours que La Fontaine sourie : Choses réelles, quoique étranges… Il redevient sérieux immédiatement : Tant que l’enfance durerait, Cette fille du Ciel en nous ne paraîtrait Qu’une tendre et faible lumière ; L’organe étant plus fort, la raison percerait Les ténèbres de la matière, Qui toujours envelopperait L’autre âme imparfaite et grossière.
Nous ne pouvons insister ici sur cette théorie de la conscience-épiphénomène, qu’on tend de plus en plus à considérer comme arbitraire.
« Où sont ces marteaux d’armes tant vantés et ces arcs qu’on ne vit jamais tendus en vain ?