Après avoir jadis essayé de détruire l’autorité de Montesquieu, Bonald, le plus systématique, — et en apparence le moins passionné, mais seulement en apparence, — se mesure maintenant à Condorcet et à Condillac. […] On a seulement fait observer, sur ce mot, que, si le « romanticisme » n’était que le « modernisme », Racine, Boileau, Voltaire auraient donc été des romantiques à leur heure, ce qui est parfaitement insoutenable. […] Déjà même, de tous les côtés, on applaudissait, sans seulement en vérifier le titre, aux plaisanteries, — si lourdes cependant ! […] Et, dans la mesure où il y a réussi, ce n’est pas seulement dans son principe qu’il a ruiné le romantisme ; il lui a enlevé jusqu’à sa raison d’être ; et il en a rendu le nom même synonyme d’égoïsme ou de dilettantisme. […] Les choses ne sont pour lui que ce qu’elles doivent être, et dès qu’il les a comprises, il ne les trouve pas légitimes seulement, mais « naturelles » et par conséquent nécessaires.
Aucune pensée, aucun sentiment ne perd pour cela de son énergie ; l’élévation du langage conserve seulement cette dignité de l’homme en présence des hommes, à laquelle ne doit jamais renoncer celui qui s’expose à leurs jugements ; car cette foule d’inconnus qu’on admet, en écrivant, à la connaissance de soi-même, ne s’attend point à la familiarité ; et la majesté du public s’étonnerait avec raison de la confiance de l’écrivain. […] Je me borne seulement à tracer la route qui a conduit les esprits, depuis le siècle de Louis XIV jusqu’à la révolution de 1789.
Si elle eût seulement légué quinze ou vingt millions aux indigents, elle passait du coup pour une des plus illustres bienfaitrices de l’humanité souffrante. […] Un saint Jean Chrysostome ou un saint Grégoire de Nazianze eût jugé que cette dame avait seulement commencé à faire son devoir ; et notre République démocratique l’exalte comme une héroïne de la charité.
Il ne s’agit point d’embrasser l’histoire de l’art comique italien dans toute son étendue, mais d’en saisir et d’en montrer seulement ce qui se découvre du point de vue particulier où je suis placé. […] D’autres comiques suivirent l’exemple, et bientôt le masque de Polecenella se répandit dans tous les théâtres d’Italie et d’Europe2. » Au fond, c’est là probablement la vraie histoire du seigneur Polichinelle et de plus d’un type de la commedia dell’arte ; seulement les uns prétendent qu’il faudrait peut-être la transporter dans l’antiquité, les autres qu’elle ne doit pas être reculée au-delà de l’âge moderne.
Du reste, ni louanges ni reproches pour les couleurs employées, mais seulement pour la façon dont elles sont employées. […] Il regrettera seulement que le livre ne soit pas meilleur.