Mon sang coule dans les veines de mon fils, et j’espère qu’un jour il se montrera digne petit-fils de Marie-Thérèse.
On peut admettre que le Noir, c’est la robe du séminariste de Julien Sorel et le Rouge, le sang de son échafaud.
L’évêque de Rome s’élève peu à peu, par sa diplomatie sans doute, mais aussi sans le vouloir, par le passé de la Ville ; le sang des martyrs lui est une gloire.
« Elle n’était pas née de semblables parents cette jeunesse qui rougit la mer de sang carthaginois, et abattit Pyrrhus, le grand Antiochus et l’implacable Annibal.
C’est à peine si le sang versé avec cet appareil était compté pour du sang versé. […] et des bourreaux pour exécuter toutes les sentences, gens qui ne savent pas distinguer à la couleur si le sang qu’ils versent est criminel ou innocent, et qui vivent légalement de la potence ou de la guillotine, comme les juges d’y envoyer des victimes. […] Fuyons donc au pays des morts, au pays des hommes qui sont de pierre et qui ne discutent plus, pays où l’imagination doit être si ouverte et si heureuse, les sens si exquis, où la poitrine doit battre si à l’aise ; pays où l’amour des arts, qui n’est que de mode en nos froides contrées, passe dans le sang avec l’air qu’on respire. […] Que de choses qu’il croyait avoir écrites avec son sang, et du fond de son être, et qu’il écrivait sous la dictée d’un autre ! […] Qu’on me permette d’en citer un passage, où je raconte ce qui m’a ramené à ces principes, après quelques divagations que la fatigue des études de collège et le premier sang de jeunesse m’avaient fait faire du côté des novateurs.