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1082. (1909) Les œuvres et les hommes. Critiques diverses. XXVI. « Odysse Barot »

Quand il faudrait prouver ce qu’il avance, il dit des mots qu’on prierait encore le génie de se donner la peine de justifier… Il a certainement plus de raison, plus de sérieux et de variété que celui qui dit, à propos de tout : « tarte à la crème ! 

1083. (1885) Les œuvres et les hommes. Les critiques, ou les juges jugés. VI. « Rigault » pp. 169-183

Du moins, l’Horace de Passy, dont la gloire est déjà baissée, sentait la patrie et pleura Sainte-Hélène… Et quant à l’autre Horace français dont Louis XIV fut l’Auguste, ce Boileau qui n’admettait pas Dieu pour être tranquille, cette âme droite, sérieuse, austère, qui tira toute sa poésie de la raison, cette maîtresse faculté de l’homme, l’Horace latin ne sert qu’à montrer combien il est grand, malgré l’imagination qui lui manque.

1084. (1905) Les œuvres et les hommes. De l’histoire. XX. « Les Césars »

Nous avons parcouru rapidement, mais assez pour donner envie de les lire aux esprits sérieux, les deux ouvrages de ce temps qui ouvrent une vue parallèle sur deux sociétés : la société romaine et la société grecque.

1085. (1906) Les œuvres et les hommes. Femmes et moralistes. XXII. « Madame de Montmorency » pp. 199-214

D’ailleurs, ce grand faucheur, qui avait pris au sérieux la méthode de Tarquin, n’abattit point de fleurs innocentes ; toutes, plus ou moins, étaient empoisonnées, et si « les successeurs de Richelieu — nous dit Renée dans un dernier trait — n’eurent pas besoin de cette politique de sang pour réussir », c’est que la besogne avait été bien faite.

1086. (1906) Les œuvres et les hommes. Femmes et moralistes. XXII. « Madame de Sévigné » pp. 243-257

» des choses que les autres seraient heureux de ramasser… Il a gardé sa bonne humeur jusqu’à la fin, gai à trois pas du sérieux.

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