A la fin le dégoût reste seul ; comme une ombre se mouvant dans une lueur très pâle, il grandit, il devient ruineux, il absorbe tout, le présent et l’avenir, ce qui est et ce qui pourrait être, il étend jusqu’à d’invisibles limites son envahissante obscurité et sa main pesante m’écrase dans ces ténèbres émanées de lui. » De la volonté le mal s’étend aux émotions.
Toute puissance établie lui donne à rire, avec des mots si crus, une ironie si âcre, que la salissure reste ineffaçable.
Il ne nous reste plus qu’à parler de deux machines poétiques : les voyages des dieux et les songes.
à ces mots il saisit un gros infortiat grossi des visions d’Accurse et d’Alciat inutile ramas de gothique écriture, dont quatre ais mal unis formoient la couverture entourée à demi d’un viel parchemin noir où pendoit à trois clous un reste de fermoir.
Jamais je n’ai prétendu qu’il ne reste rien d’un premier jet, et j’ai même, pour ce motif, signalé l’importance des premières rédactions.