C’est ce qu’a fait madame Allart, et cela sans prodiguer les contrastes déclamatoires, sans s’arrêter à chaque instant pour s’étonner et faire remarquer, mais par le simple exposé, trop simple même et trop écourté souvent, de cette société qu’elle a observée à loisir.
Plusieurs fois les dieux en viennent aux mains dans Homère ; mais, comme nous l’avons déjà remarqué, on ne trouve rien dans l’Iliade qui soit supérieur au combat que Satan s’apprête à livrer à Michel dans le Paradis terrestre, ni à la déroute des légions foudroyées par Emmanuel : plusieurs fois les divinités païennes sauvent leurs héros favoris en les couvrant d’une nuée ; mais cette machine a été très heureusement transportée par le Tasse à la poésie chrétienne, lorsqu’il introduit Soliman dans Jérusalem.
Observations sur la comédie et la tragédie L’absence de toute philosophie que nous avons remarquée dans Homère, et nos découvertes sur sa patrie et sur l’âge où il a vécu, nous font soupçonner fortement qu’il pourrait bien n’avoir été qu’un homme tout à fait vulgaire.
Valéry Larbaud remarqua que le mérite accablé par la richesse s’élève lentement. […] Pareillement certaines de ses œuvres en prose se remarquent par des qualités de premier ordre. […] Sacha Guitry, bien peu se sont montrés par la suite, aussi effectivement que lui, dignes d’être remarqués pour eux-mêmes. […] L’adresse scénique que nous remarquions en lui prend la place de ses qualités les plus sérieuses. […] Nous tenons pour certain qu’ils ont été les premiers frappés des réminiscences que nous avons remarquées dans leurs ouvrages.
Il faut d’ailleurs le remarquer. […] La poésie, avons-nous remarqué, n’est pas inhérente à la forme du vers. […] On a bien des fois remarqué que l’expression adéquate de l’idée était par essence prosaïque. […] Il est à remarquer que chez les philosophes la profondeur de la pensée n’exclut nullement l’imagination. […] À remarquer tout ce qui a trait à l’utilisation de la rêverie, comme procédé d’invention.