N’avez-vous pas remarqué qu’il voulait prendre la fuite ? […] Il faut remarquer qu’elle est dans la comédie italienne ce qu’elle était déjà dans nos fabliaux, c’est-à-dire fausse dévote et béguine.
Dès sa jeunesse, il se fit remarquer par son dévouement au maître, tel qu’il n’y en a pas deux. […] On remarquera la phrase se déguisa en marchand d’objets de bambou , qu’il lui arrivait de fabriquer lui-même, ainsi que le prouve la petite écritoire de poche de ma collection.
Chose singulière, qu’on n’a point assez remarquée ! […] Bayle, le sceptique, avait été moins injuste, et Voltaire, plus tard, superficiel et détraqué, avait, dans son Essai sur les Mœurs, relevé son bonnet, tombé dans la titubante ivresse de la haine… Du reste, encore une chose à remarquer de la part de ces philosophes, qui ont été bien heureux que Molière eût inventé Tartufe pour avoir une injure à jeter à toute l’humanité religieuse !
Il était impossible que l’enfance de l’humanité suivît une marche différente ; on a remarqué dans un axiome que les enfants ont au plus haut degré la faculté d’imiter le vrai dans les choses qui ne sont point au-dessus de leur portée ; c’est en quoi consiste la poésie, laquelle n’est qu’imitation. […] Ensuite Platon remarqua que, dans ces assemblées, les esprits des individus, passionnés chacun pour son intérêt, se réunissaient dans l’idée non passionnée de l’utilité commune.
Remarquez qu’il ne s’agit pas du théâtre de fabrication. […] » Et remarquez que les critiques ne sont que justes. […] Remarquez qu’au fond leurs critiques portent presque toujours juste. […] Remarquez que je ne nie pas le génie humain. […] Remarquez que j’appelle situation tout fait produit par les personnages.