J’étais entré avec un gros court, que, tout d’abord, je n’avais pas reconnu. […] Quelqu’un ajoute, que les officiers de marine sont unanimes à reconnaître que dans tout l’Orient, c’est seulement au Japon qu’on trouve chez la femme, la gaieté, l’entrain, un amour du plaisir, presque occidental.
Premierement, on ne me reprendra point de dénier aux philosophes et aux sçavans qui recherchent méthodiquement les secrets de la nature, toutes les inventions dont ils ne sont pas reconnus les auteurs. […] N’ont-ils pas reconnu qu’elle y étoit un guide necessaire ?
Cette grande femme d’État avait peut-être jugé et pénétré Saint-Simon avant Louis XIV, mais sur ce point comme sur tous les autres, elle ne domina pas le roi, elle avait vu comme il devait voir, elle le devinait… Elle lui parlait sa propre pensée et le Roi se reconnaissait à l’instant. […] Il lui manquait au front cette largeur tranquille à laquelle se reconnaissent les hommes qui ont le droit d’être ambitieux et qui doivent gouverner les peuples, qui sont faits du moins pour les gouverner !
Pour mon compte, je suis disposé à reconnaître qu’intellectuellement, de talent et d’inspiration, Saint-Bonnet a quelque chose de samsonien ; mais sa force, à lui, est bien plus contre les idées que contre les hommes, Il a le rayon de miel que Samson trouva un jour dans la gueule du lion, mais la gueule du lion, où est-elle ? […] La science, la seule science qu’il reconnaisse, avec raison, et qui importe à l’homme : la science de son être et de l’Être, il ne l’entend que dans le sens révélé du mot.
Richepin, quels que soient son passé et son caractère, qu’on n’a pas à juger ici, il est poète dans ses vers, il y a la sincérité du poète, et c’est à l’évidence de l’accent qu’on le reconnaît, et que, sans cette méprisable envie, le cancer de la littérature, on l’aurait, à la première vue, universellement reconnu.