Dans le premier cas, nous les considérons principalement dans leur rapport à nos divers sentiments et, par conséquent, au sujet qui en est la somme. […] C’est à la catégorie des rapports de succession qu’appartient la causalité ; mais tout rapport de succession n’est pas un rapport de causalité ; il faut pour cela qu’il remplisse des conditions essentielles qui vont être déterminées. […] Mill, avec sa grande autorité philosophique, n’ait traité nulle part des rapports de la psychologie et de la logique. […] Mill, c’est l’antécédent invariable, et que le rapport de causalité c’est la succession inconditionnelle. […] Tel est le rapport qui existe entre la moralité fondée sur l’utilité (expediency-morality) et la morale comme science.
tuez-le ou mettez-le en rapport avec son espèce. […] Nous n’admettons le rapport des quantités concrètes que parce que nous admettons le rapport des quantités abstraites en elles-mêmes. […] Eh bien, où est dans les choses extérieures, dans le phénomène visible, ce rapport que nous y supposons, le rapport de la cause à l’effet ? […] Or, qu’est-ce que les rapports essentiels des choses ? […] Quels sont leurs rapports essentiels ?
Décomposition de ce milieu Le milieu social, dont nous avons maintenant à rechercher les rapports avec la littérature, est si complexe qu’il est nécessaire de le décomposer, si l’on veut être certain de le sillonner en tout sens. […] Il faut donc encore étudier les rapports que chaque époque a pu avoir soit avec le dehors, soit avec le passé et ces rapports, comme tous ceux que nous avons à relever, sont de trois sortes. Entre les œuvres d’une époque et les œuvres antérieures ou étrangères, on peut trouver ou bien un développement parallèle, par suite des causes semblables, ou un rapport d’effet à cause, ou un rapport de cause à effet.
Si cette indépendance peut être absolue, il y aura liberté absolue ; si elle ne peut être que relative, il n’y aura qu’une liberté relative et limitée, c’est-à-dire une indépendance sous tels rapports n’excluant pas la dépendance sous tels autres rapports. […] Aucune détermination de rapports entre les objets de pensée ne peut nous rendre compte de la pensée qui conçoit et ces objets et ces rapports. […] Selon nous, la décision finale est « fonction » dépendante des deux termes, et elle exprime leur rapport ; selon M. […] — Cette idée, objectera-t-on, n’est ni une image, ni l’idée d’une action, ni l’idée d’un objet ; elle n’est pas même l’idée d’un rapport ; elle est précisément l’idée de la négation d’un rapport : comment donc pourrait-elle agir et surtout se réaliser ? […] On peut donc très bien se proposer pour lin de réaliser une volonté indéterminée sous certains rapports.
Les hommes ne sçauroient bien juger d’un objet dès qu’ils n’en sçauroient juger par le rapport du sens destiné pour le connoître. […] Or le poëme dont nous n’entendons point la langue, ne sçauroit nous être connu par le rapport du sens destiné pour en juger. […] On diroit au critique d’aller voir le tableau, et l’on s’en tiendroit au rapport uniforme de tous ceux qui l’ont vû et qui assurent qu’il les a charmez malgré ses défauts. En effet, le rapport uniforme des sens des autres hommes, est après le rapport de nos propres sens, la voïe la plus certaine que nous aïons pour juger du mérite des choses qui tombent sous le sentiment. Les hommes le sçavent bien, et l’on n’ébranlera jamais la foi humaine, ou l’opinion prise sur le rapport uniforme des sens des autres.