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433. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — S — Séverin, Fernand (1867-1931) »

Albert Giraud Le meilleur poète français de la Wallonie, le seul qui eût exprimé dans une forme classique la sensibilité de sa race et l’âme de son pays.

434. (1900) La méthode scientifique de l’histoire littéraire « Première partie. Plan général de l’histoire d’une littérature — Chapitre II. Pourquoi il faut préférer la méthode inductive » pp. 13-14

Nous savons, par conséquent, que toutes les causes des phénomènes littéraires se rangent en trois grandes catégories, sans plus : milieu psycho-physiologique (hérédité, race, tempérament, etc

435. (1913) Essai sur la littérature merveilleuse des noirs ; suivi de Contes indigènes de l’Ouest-Africain français « Contes — IX. Chassez le naturel… »

De temps à autre, le singe se grattait de brefs coups de patte saccadés et le lièvre, qui redoute sans cesse d’être surpris par quelque ennemi de sa race, ne pouvait s’empêcher à tout instant de tourner la tête tantôt d’un côté, tantôt de l’autre.

436. (1909) Les œuvres et les hommes. Critiques diverses. XXVI. « Rathery »

N’y avait-il donc pas à prendre la question dans un repli plus profond et à montrer que, malgré les différences d’idiome et les nuances de mœurs, ces toiles d’araignées dans lesquelles les petits observateurs sont arrêtés comme des insectes, il n’y a eu, à proprement parler, d’action d’une littérature sur une autre que parce qu’il y avait, au fond de toutes ces littératures, unité de génie et souche commune d’une même race d’esprits ?

437. (1894) Les maîtres de l’histoire : Renan, Taine, Michelet pp. -312

Son père, capitaine de la marine marchande et occupé d’un petit commerce, était de vieille race bretonne (le nom de Renan est celui d’un des plus vieux saints d’Armorique). Il transmit à son fils l’imagination rêveuse de sa race, son esprit de simplicité désintéressée. […] Une introduction toute nouvelle sur l’esprit gaulois, le sol, la race, sur la personne et la vie de La Fontaine prend la place de cette théorie et est destinée à expliquer l’œuvre. […] Venaient-elles de sa race ? […] Il aimait vraiment les hommes comme des frères, d’un amour évangélique, quels qu’ils fussent, quelles que fussent leur langue, leur race et leurs convictions.

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