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312. (1898) Émile Zola devant les jeunes (articles de La Plume) pp. 106-203

Le vieux père Pascal échafaudé silencieusement son rêve de science. […] Mais c’eût été recommencer une nouvelle Légende des Siècles, donnant trop d’envergure à l’imagination, au rêve, à l’hypothèse. […] Leur imagination s’embrasait dans des rêves en feu. […] Seules, des trêves d’amour comme le Rêve et comme l’Abbé Mouret ne laissent après elles qu’une moins farouche tristesse. […] Serge n’emporte-t-il pas dans son cœur l’éternel regret de celle qui fut sienne, comme en rêve, en dehors de sa vie de chasteté et de prière ?

313. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — C — Callon, P.-J.-Édouard »

-Édouard [Bibliographie] Les Deux Rêves (1894). — Hercule vainqueur de la mort (1896).

314. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — T — Ternisien, Victor »

Ces chants ne sont pas candides, ils sont pleins, ils sont savants, ils disent tout, ils sont gros de tout ; ces vers et cette prose sont lourds, électriquement, de tout ce qui fait l’humanité et de la divinité ; de la gravité et du rêve est née, voici longtemps et pour être immortelle, la Beauté.

315. (1907) Le romantisme français. Essai sur la révolution dans les sentiments et dans les idées au XIXe siècle

Il y conçoit un rêve de jouissance infinie pour le cœur. Certes, un tel rêve est intolérable. […] Qui rêve ? […] Qui rêve ? […] Dans un recul propice de temps et de lieux il a modelé librement son rêve.

316. (1904) En lisant Nietzsche pp. 1-362

« Rien ne vous appartient plus en propre que vos rêves ; rien n’est davantage votre œuvre. […] Le rêve, c’est la pensée libre et par conséquent c’est le moi pur. […] Cependant vous prétendez n’être pas responsable de vos rêves. […] Mais, quoi qu’il en soit, vos rêves c’est bien vous, c’est plus vous que vous éveillé. […] Or, revenons-y, vous ne voulez pas être responsables de vos rêves.

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