Non, ce n’est pas là de la poésie pure et vraie. […] On n’y trouve ni la grandeur théâtrale et gigantesque de Martin, ni la sévérité précise et pure du Poussin. […] C’est pure ingratitude. […] Était-ce bien là le sanctuaire qu’il fallait choisir pour cette pure et ineffable affection ? […] Que Triboulet soit vertueux et pur, à la bonne heure !
Gabriel de Lautrec est un pur et sincère artiste.
Et dire à tous, devant ton œuvre triste et pure, En me portant garant de ta sincérité : « Vous entendez le cri ; moi, j’ai vu ta blessure !
Il est de son temps ; il a l’humour ; il a le sentiment pur et frais de la nature.
Georges Rency Arthur Toisoul qui, avant Opéra, cette douce merveille, avait publié déjà Mai, livre de pure grâce et de délicate beauté, dont on a trop peu, oh !