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1150. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — T. — article » pp. 326-344

Cette puissance doit se sentir, en effet, assez affoiblie, pour songer à convoquer l'arriere-ban.

1151. (1913) Le bovarysme « Première partie : Pathologie du bovarysme — Chapitre II. Le Bovarysme comme fait de conscience son moyen : la notion »

D’une part, la puissance de ses intérêts et de ses aptitudes héréditaires est plus ou moins considérable et le rend sensible, dans des proportions variables aux influences d’éducation.

1152. (1878) Les œuvres et les hommes. Les bas-bleus. V. « Chapitre II. Mme Le Normand »

Il ne faudrait pas exagérer et faire des salons une puissance dont on semble dire à un gouvernement : « Ah !

1153. (1906) Les œuvres et les hommes. À côté de la grande histoire. XXI. « Les Kœnigsmark »

Son mérite actuel a été de savoir l’anglais et l’allemand, — ce qui est honorable et souvent utile, mais ce qui n’est pas tout, car le mot célèbre de Charles-Quint n’est pas vrai en littérature… Dans ce mystère dévoilé de la mort du comte de Kœnigsmark, que de questions à tenter un esprit qui aurait eu quelque puissance, et qu’il n’a pas effleurées !

1154. (1906) Les œuvres et les hommes. À côté de la grande histoire. XXI. « La diplomatie au xviie  siècle »

Il avait l’humilité fière qui plaît tant aux femmes, dans les hommes faits pour les séduire, et qui plaît tant aussi aux Puissances, parce qu’elles sont des femmes aussi !

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