Rosny, qui dans ses romans d’une écriture trop personnelle, ou, si l’on veut, d’un français trop douteux, pose les problèmes moraux et sociaux les plus actuels avec un sens pénétrant de la vie et une sympathie pour les souffrants qui n’a rien de banal, Indompté (1894), ou qui ramène le roman à la simplicité puissante de l’épopée par ses visions des temps préhistoriques, poétiques expressions des hypothèses de la science d’aujourd’hui Vamirch : et M.
Personne ne se pose, ne se meut, ne se plie, ne s’allonge, ne se glisse, ne tombe comme Mme Sarah Bernhardt.
Nous avons pensé qu’il pouvait être intéressant de demander à quelques libres écrivains ce qu’ils pensaient de l’Académie, et nous leur avons posé les trois questions suivantes : 1º À votre avis, l’Académie française est-elle ou non en décadence ?
Celles-ci sont au moins des problèmes posés avec la dernière précision, et dont la solution, toujours douteuse, sera d’un intérêt éternel.
De concert avec l’abbé de Ciron, elle posa les bases de l’institut nouveau qu’elle prétendait fonder ; elle dressa les Constitutions de la congrégation dite de l’Enfance, ainsi nommée parce qu’il s’agissait d’y honorer particulièrement la divine enfance de Jésus-Christ.