. — L’Herbier, poésies (1887). — La Bataille littéraire, cinq séries (1889-1893). — Une promenade à Versailles (1892). — Causeries sur l’art (1894). — Les Mercredis d’un critique (1895). — Causeries du mercredi (1896). — Ceux qu’on lit (1897) ; un assez grand nombre de pièces de théâtre.
Rodolphe Darzens Victor Margueritte fit preuve d’une grande précocité en publiant, à dix-sept ans, un recueil de vers, Brins de lilas (1883), et l’année suivante, la Chanson de la mer, toutes poésies où la perfection de la forme et la science du rythme s’allient à l’élévation des pensées et au charme des expressions.
Il y a aussi un volume presque de ces poésies éparses (Sonatines d’automne) dans différentes publications, parmi lesquelles ces inoubliables vers libres publiés par la Revue blanche.
Engagé dans les voies de la science, j’ai quitté la poésie pour n’i jamais revenir, et si, contre mon atente, la critique jète les ieus sur ce livre, èle peut le considérer comme une œuvre posthume.” » [Poèmes et rêveries d’un païen mystique, p. 8 (1895).]
Balzac, [Jean-Louis Guez, Seigneur de] de l’Académie Françoise, né à Angoulême en 1594, mort en 1654, a rendu à l’Eloquence Françoise le même service que Malherbe venoit de rendre à la Poésie.