Poèmes (1887-1898). […] Gustave Kahn : Premiers poèmes. […] Milosz : Le Poème des Décadences. […] Fernand Séverin : Poèmes ingénus. […] — Poèmes (3e série).
Il dessina son grand poème et il commença à l’écrire. Ce poème, c’était lui ! […] » m’écriai-je en me réveillant, « j’ai trouvé mon poème ! […] Ces poèmes étaient autant de chants épars de mon épopée de l’âme. […] Réduisons donc ce poème bizarre à sa vraie valeur, le style.
Ses petits poèmes son théâtre. […] Par « petits poèmes » de La Fontaine nous entendons des poèmes qui, en vérité, sont plus longs que les Fables et que les Contes, mais qui, étant des poèmes didactiques et des poèmes épiques, sont moins longs que les poèmes épiques et que les poèmes didactiques que nous avons coutume de considérer dans l’histoire de la littérature ; c’est pour cela qu’on les a appelés « les petits poèmes de La Fontaine », ce qui ne répond pas à une idée très précise, mais vous comprenez ce que l’on a voulu entendre parla. […] Le début est tout à fait épique, tout à fait mythologique à la grande manière des poèmes épiques anciens. […] La Captivité de saint Malc est un poème religieux. […] Il la retrouve — naturellement — quand il s’agit d’une fable à introduire dans le poème.
Avec les laboureurs, vous avez le plus beau poème didactique de l’Antiquité et vous pouvez avoir les plus charmants poèmes romanesques, comme les conçoit la tête moderne. […] Était-ce un poème ? Était-ce une succession de poèmes ? […] Dans l’inutile préface qui précède ses poèmes, M. […] Autran a inventé la mer dans ses poèmes.
Les Pisistratides divisèrent et disposèrent les poèmes d’Homère en Iliade et en Odyssée. Ceci doit nous faire entendre que ces poèmes n’étaient auparavant qu’un amas confus de traditions poétiques. On peut remarquer d’ailleurs combien diffère le style des deux poèmes. — Les mêmes Pisistratides ordonnèrent qu’à l’avenir ces poèmes seraient chantés par les rapsodes dans la fête des Panathénées (Cicéron, De naturâ deorum ; Élien). — 6. […] Cette tradition ôte tout crédit à la précédente, d’après laquelle les poèmes d’Homère auraient été corrigés, divisés et mis en ordre du temps des Pisistratides. […] — Enfin, selon la même tradition, Homère était pauvre, et allait dans les marchés de la Grèce en chantant ses poèmes.