C’est comme dans les lais, virelais, ballades et pastourelles de Froissart : les jolies pièces abondent ; c’est quelque chose de fin, de vif, de charmant, une fantaisie discrète, une forme sobre ; mais une ingénuité d’opéra-comique dans les paysanneries, et partout une fausse naïveté, une adroite contrefaçon du sentiment, une grâce qui inquiète comme expression d’une incurable frivolité et puérilité d’esprit.
Mais le maître était irrémédiablement légitimiste : la légitimité est une pièce essentielle de la doctrine.
En ce livre qui parut peu de temps avant Joies, on discerne malaisément le poète instinctif et le trouveur de rythmes qui va naître bientôt ; cependant des compositions publiées avant ce drame (les premiers Cygnes) indiquaient déjà les vagues linéaments de la philosophie que j’ai exposée au premier chapitre de cette brochure, et, entre beaucoup de pièces agitées d’influences diverses, — celle de M.
Enfin les assaillants, se ruant d’un seul bond, les taillent en pièces, les égorgent, jusqu’à ce que tous aient perdu la vie.
On la voit, dans un bas-relief, debout devant un jeune sculpteur qui taille, en beau style dorique, le chapiteau d’une colonne : par-dessus sa tête, elle conseille encore des mécaniciens ajustant les pièces d’une roue hydraulique.