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251. (1891) [Textes sur l’école romane] (Le Figaro)

Le symbolisme, qui n’a eu que l’intérêt d’un phénomène de transition, est mort.

252. (1767) Salon de 1767 « Peintures — Bellengé » p. 204

Pour les découvrir, il faudrait partir des phénomènes les plus grossiers, par exemple, des serpens, des oiseaux, des arbres, des maisons, des papillons ; il est certain qu’un serpent, qu’un arbre, qu’une maison serait ridicule sur le dos d’une femme.

253. (1900) La méthode scientifique de l’histoire littéraire « Troisième partie. Étude de la littérature dans une époque donnée causes et lois de l’évolution littéraire — Chapitre XII. La littérature et la religion » pp. 294-312

Comment expliquer ce phénomène, qui paraît étrange au premier abord ? […] § 5. — Il me paraît superflu d’insister plus longuement sur la liaison des phénomènes littéraires et des phénomènes religieux ; mais je voudrais encore résumer les principales opérations qu’elle commande à l’historien d’une littérature.

254. (1899) Esthétique de la langue française « Le cliché  »

Peut-être que des réflexions sur ces phénomènes seront utiles à ceux qui observent curieusement le mécanisme de la pensée humaine. […] La mémoire est un phénomène très complexe et tout mécanique. […] Ribot, s’exalter dans leur portion saine : et ceci fait comprendre l’état de l’homme qui ne pense que par clichés ; il y a là un phénomène très curieux d’exaltation de la mémoire partielle.

255. (1864) William Shakespeare « Deuxième partie — Livre I. Shakespeare — Son génie »

L’arabesque dans l’art est le même phénomène que la végétation dans la nature. […] Génie et escarboucle, double réflexion, double réfraction, même phénomène dans l’ordre moral et dans l’ordre physique. […] Ce phénomène de la réflexion double élève à la plus haute puissance chez les génies ce que les rhétoriques appellent l’antithèse, c’est-à-dire la faculté souveraine de voir les deux côtés des choses.

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