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1753. (1803) Littérature et critique pp. 133-288

Ne pouvant retirer ce qui est acquis au public, elle a désiré y joindre du moins, dans cette note, une expression d’admiration personnelle envers une mémoire que le temps et la mort semblent de plus en plus consacrer.

1754. (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre premier. Ce que devient l’esprit mal dépensé » pp. 1-92

Chaque saison de la littérature a son genre de critique ; pour chaque époque il existe une langue que cette époque comprend à merveille ; plus le chef-d’œuvre dont vous parlez est accepté, plus c’est pour vous une nécessité de ne copier personne, quand vous en parlez, et d’obéir tout simplement à votre goût particulier, à votre impression personnelle.

1755. (1903) La pensée et le mouvant

Plus tard pourra venir le regret, — à moins pourtant qu’il n’y ait incompréhension native et, par dépit, ressentiment personnel à l’égard de tout ce qui n’est pas réductible à la lettre, de tout ce qui est proprement esprit. […] Là où il n’y a pas un effort personnel, et même original, il n’y a même pas un commencement de science.

1756. (1892) Les contemporains. Études et portraits littéraires. Cinquième série « Quelques « billets du matin. » »

Croyez-vous à un Dieu personnel, à l’immortalité de l’Ame, aux peines et aux récompenses après la mort ?

1757. (1899) Arabesques pp. 1-223

Le lecteur bénévole préférerait peut-être un écrit qui ne revête pas un caractère de polémique sur des faits exclusivement personnels.

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