Francisque Sarcey me dit que, s’il est permis d’égaler quelques écrivains à Victor Hugo, celui-ci garde le mérite d’avoir fait une révolution dans la littérature, et que par là du moins il est absolument hors pair.
Elle avait toute la beauté du sacrifice désintéressé: car cette vie n’était si étroitement ordonnée que pour permettre au fils, à l’héritier, de connaître un jour une forme supérieure et plus élégante de la vie.
L’aristocratie du sang (avec tout l’ordre social qu’elle impliquait) était assurément plus décorative, produisait des individus plus remarquables, de plus beaux spécimens de l’animal humain, et permettait à un petit nombre une vie plus noble et plus brillante.
Ne permettez pas que je l’oublie jamais, et sauvez-moi du péché d’orgueil.
Il considérerait que, si des iniquités ont été commises contre ses pères il y a quatre-vingts ans, Dieu ne permet plus d’en tirer vengeance, justement parce que l’humanité a quatre-vingts ans de plus, et que, du reste, les événements les avaient déjà réparées.