Ce dernier aussi restera un grotesque de notre littérature ; je prends ce mot dans le bon sens, un profil singulier et à part, une gargouille de sculpture, grimaçante et très travaillée, sans humanité aucune d’ailleurs, perdue dans un coin de cathédrale.
Quant aux hymnes, je louerai d’abord M. de La Tailhède de ce qu’il a relevé, de chez nos maîtres de la Pléiade, ce mode héroïque perdu. — Il l’a fait avec gloire.
Mais, d’abord, ces études partielles forment un amoncellement de documents où le spécialiste a quelque peine à se débrouiller et où le grand public a toutes les chances de se perdre entièrement.
Descartes a imaginé sa théorie des tourbillons qui a fait loi pendant près de cent ans, qui a perdu ensuite toute l’autorité pour retrouver aujourd’hui, dit-on, quelque créance : personne songera-t-il pour cela à rayer l’astronomie du nombre des sciences ?
Il est le premier qui nous ait donné une Traduction du Paradis perdu, généralement préférée à celle qu’en a donnée depuis l’Auteur du Poëme de la Religion.