À quelques mois de là la nouvelle court le pays que le fils du ministre se marie, et le père et la mère de « l’Assiette rose » sont invités aux fêtes du mariage. […] Un prince, après une défaite, au moment d’être fait prisonnier dans un pays étranger, a pu arriver, poursuivi de très près, à la porte de la frontière. […] Une série intitulée : Les Différents Pays, pays imaginaires, dont une estampe vous montre : le Royaume des Femmes, où un certain jour de l’année, sous l’influence d’un vent d’Ouest, les femmes deviennent enceintes, — et toutes sont tournées vers le souffle de ce vent. […] La lune rappelant en Chine au poète japonais son pays. […] Une planche d’un beau sentiment : un Empereur exilé, regardant mélancoliquement du bord de la mer une volée d’oiseaux se dirigeant vers son pays.
Il est plus connu par le Courier d’Avignon, qu’il a continué depuis sous le titre de Courier de Monaco, que par ses autres Productions, dont le débit s’est borné à la Province & aux Pays étrangers.
Il y a des époques et des pays où la vitalité manque ; il y a des époques et des pays où la discipline de la raison se relâche. […] Les soldats de toutes nations, venus de partout, amis et ennemis, ont formé un étrange pays, séparé des nations : le pays des combattants. […] Ils étaient le pays de la vie, où s’exaltait la vie jusqu’à son paroxysme, la mort. […] Une ombre malfaisante couvrait le pays où j’étais né. […] Elles ne quittaient pas le pays.
Celui-là, cependant, éprouvait avec une intensité singulière les émotions profondes et polies de son pays et de son temps. […] C’était plutôt un bel exemplaire, très pur et très complet, d’un type tiré dans son pays à beaucoup d’éditions. […] Mais un jour la douce Marysia fut saisie d’une fièvre inconnue — par grande exception — aux deux médecins du pays. […] Chalek reçut un porte-monnaie rempli d’or, et quitta le pays. […] C’est un pays de contes de fées pour les mauvais enfants ; un vilain pays où tous les pouvoirs sont aux mains des médecins, où personne n’habite que des médecins et des malades, où l’art, la religion, la bonté, sont remplacés par la science.
Charles Fuster C’est le livre d’un poète breton, qui aime son pays et qui en a gardé toutes les fortes et naïves croyances, la simplicité et la grandeur.