La limitation du nombre des unités coopérantes et partageantes paraît être en effet une condition de l’activité communiste. […] Pour celles-ci l’accroissement quantitatif semble en quelque sorte de rigueur : chacune d’elles paraît tenir pour une nécessité vitale l’assimilation du plus grand nombre possible d’individus. […] Que l’expansion des idées égalitaires réponde à cette concentration de la population, cela paraît hors de conteste. […] Il est vrai que le gouvernement direct du peuple par le peuple, dont on nous dit que les sociétés archaïques donnent quelques exemples, ne paraît guère possible dans une société volumineuse. […] Mais considérons cette même quantité sous l’aspect de la densité et non plus seulement sous l’aspect du nombre ; et nous verrons qu’il doit s’en dégager, pour l’esprit des hommes agglomérés, certaines impressions qui diffèrent des précédentes jusqu’à leur paraître contraires, mais qui favorisent aussi, par un autre biais, l’expansion de l’égalitarisme.
Bientôt le chef nouveau de l’invasion dut paraître un vengeur indigène ramené par la fortune des révolutions dans sa première patrie. […] Entre ces noms célèbres, un seul nous paraît, plus que Monti, représenter la gloire poétique de l’Italie, et avoir donné par la noblesse de l’âme une vérité durable à l’éclat du talent. […] Cet ascendant parut là même où la puissance de ses armes avait échoué. […] Ne paraîtra-t-elle pas souvent, jusque dans son abondance native, une imitation de notre art moderne, et ne nous rendra-t-elle pas comme une image affaiblie de notre dernier âge poétique ? […] Ces chants et d’autres encore pouvaient paraître d’heureux échos d’une harmonie connue, des reflets d’enthousiasme dont l’ardeur même atteste plutôt l’émotion du souvenir que la soudaine création du génie.
Cette vérité paraît bien simple. […] En 1678 paraît la Princesse de Clèves. […] Cette formule risque de paraître désobligeante. […] Cette formule paraît toute simple. […] Si étrange que paraisse cette expression, comment en employer une autre ?
Vois cette jambe-là, elle paraît avoir été faite au tour comme un balustre. […] L’étonnement des élèves parut grand ; mais il ne fut exprimé que sur la physionomie de chacun, qui resta muet. […] Toutefois, ce jugement parut une injustice aux yeux de l’élève, qui prit l’affaire tout à fait au sérieux. […] À peine cette affaire parut-elle arrangée, que David s’empressa de faire les préparatifs, nécessaires pour recevoir son modèle et commencer son ouvrage. […] Celui-ci ne souffrait patiemment les observations de personne ; aussi les plaisanteries de Mme Simon Candeille lui parurent-elles une injure insupportable.
La conclusion, beaucoup moins orageuse de la Femme de quarante ans, me paraît d’autant plus vraie, plus conforme, dans son ironie, à ce qui se passe chaque jour, même chez nos plus dévorants, dont aucun encore n’est si ensanglanté sous son gant jaune, qu’il voudrait le faire croire. […] En un mot, que M. de Bernard, bien qu’il paraisse si bien savoir la vanité de la gloire elle-même, le néant et la raillerie de toutes choses, prenne plus au sérieux (sans en avoir l’air) son grand talent. […] C’est un étrange conseil que je donne là, et l’inverse de ce qu’il faut dire à d’autres ; mais M. de Bernard me paraît le mériter.