Ce volume du Journal des Goncourt est le dernier qui paraîtra de mon vivant.
Mais comme heureusement pour vous, il n’y a là ni le Saint Victor, ni le Saint André, ni le Saint Benoît de Deshays, ces têtes coupées qui ensanglantent la terre, nous paraissent fortes et bien.
Telle d’entre elles, faite en anglais, n’avait jamais paru dans notre langue.
Telle est l’Histoire de Marie Bucaille, Sorciere, qui, étant en prison à Valogne, parut à quelques lieues de là, dans le même instant que le Juge de Valogne l’interrogeoit.
Depuis son Epître d’Héloïse à Abailard, il n’a rien paru de lui qui fût propre à soutenir l’idée avantageuse que cette Piece avoit donnée de ses talens.