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1794. (1866) Cours familier de littérature. XXI « CXXIIe entretien. L’Imitation de Jésus-Christ » pp. 97-176

Il transcrivit ensuite un recueil de plusieurs traités pieux, parmi lesquels se retrouvent les quatre premiers livres intitulés : de Imitatione Christi, bien qu’il eût signé cette copie de sa formule ordinaire : « Fini et complété par les mains de Thomas A Kempis, 1441. » On put prendre aisément plus tard le copiste pour l’auteur.

1795. (1866) Cours familier de littérature. XXI « CXXIIIe entretien. Fior d’Aliza » pp. 177-256

Ma mère, comme à l’ordinaire, était ma complice.

1796. (1889) Histoire de la littérature française. Tome III (16e éd.) « Chapitre neuvième »

Sganarelle, Arnolphe, donnaient même à Molière le droit de faire finir leurs pupilles malhonnêtement ; car c’est l’effet ordinaire d’une absurde contrainte d’engendrer le désordre.

1797. (1890) L’avenir de la science « III » pp. 129-135

Tel ouvrage allemand de premier ordre est lourd et insupportable en français ; ôtez à l’eau de rose sa senteur, elle ne vaut pas de l’eau ordinaire.

1798. (1888) Revue wagnérienne. Tome III « VI »

Un littérateur est un homme dont l’esprit, né dispos aux généralisations, a été développé par l’éducation suivant sa tendance native ; dès sa maturité, l’esprit du littérateur sera devenu éminemment capable de littérature ; et éminemment signifie presque exclusivement ; la puissance de vision linéaire et la puissance de perception musicale se seront atténuées par le fait de la croissance de l’autre faculté ; et la prédominance de la capacité littéraire sera telle qu’un spectacle sensible sux esprits ordinaires sous une part égale des trois facultés, à lui littérateur apparaîtra — naturellement — redondant de littératures.

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