Ce passionné du devoir, qui, dans son dernier ordre du jour et le plus beau, ne devait rien trouver de mieux à dire aux marins anglais que ces mots tout-puissants : « L’Angleterre espère que chacun de vous fera son devoir », oublia le sien envers un être auquel il brisa froidement le cœur, envers son pays dont il choquait les mœurs et dont l’opinion était le meilleur de sa gloire, et envers cette gloire elle-même dont il était couvert et qu’il aurait dû respecter !
Il a des manières à lui de caractériser l’expression des lettres d’Héloïse, que Madame Guizot trouve arrangée et déclamatoire, et nous sommes bien aise de les opposer à l’opinion de Madame Guizot… mais non pour la détruire : « Tous les passages des lettres d’Héloïse ne sont qu’une paraphrase anhélante du verset du Cantique des Cantiques… Sous les doigts de la nonne, le feu ruisselle.
Ces encyclopédistes qui entraînaient l’opinion, elles les appelait la Livrée de Voltaire.
Ce passionné du devoir, qui, dans son dernier ordre du jour et le plus beau, ne devait rien trouver de mieux à dire aux marins anglais que ces mots tout puissants : « L’Angleterre espère que chacun de vous fera son devoir », oublia le sien envers un être auquel il brisa froidement le cœur, envers son pays dont il choquait les mœurs et dont l’opinion était le meilleur de sa gloire, et envers cette gloire elle-même dont il était couvert et qu’il aurait dû respecter !
Tantôt (à la page 149 du volume) Collé est un folâtre, le folâtre Collé, qui continue ses petites farces, et cela à propos de l’opinion la plus fondée touchant l’Essai sur l’histoire universelle !