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1911. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — S — Samain, Albert (1858-1900) »

On lui doit encore quelques rares pages semées dans des Revues, La Revue des deux mondes, Mercure de France, La Revue hebdomadaire, où furent recueillis des contes en prose fort peu connus : Xanthis ou la Vitrine sentimentale (17 décembre 1892), Divine Bontemps (11 mai 1895), Hyalis, le petit faune aux yeux bleus (20 juin 1896).

1912. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — B — article » pp. 241-244

C’est à la magie de quelques Enchanteurs langoureux qu’elle doit la docilité qui lui ferme les yeux, & la porte à se nourrir bonnement de tout ce qu’on lui présente.

1913. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — G — article » pp. 440-443

Il perd, aux yeux des hommes sages, tout le mérite qui peut briller dans ses créations.

1914. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — R. — article » pp. 90-93

Jourdain à tourner en plusieurs manieres le compliment à la Marquise : Belle Marquise, vos beaux yeux me font mourir d'amour.

1915. (1827) Génie du christianisme. Seconde et troisième parties « Troisième partie. Beaux-arts et littérature. — Livre premier. Beaux-arts. — Chapitre VI. Architecture. — Hôtel des Invalides. »

Les yeux du voyageur viennent d’abord s’attacher sur cette flèche religieuse, dont l’aspect réveille une foule de sentiments et de souvenirs : c’est la pyramide funèbre autour de laquelle dorment les aïeux ; c’est le monument de joie où l’airain sacré annonce la vie du fidèle ; c’est là que les époux s’unissent ; c’est là que les chrétiens se prosternent au pied des autels, le faible pour prier le Dieu de force, le coupable pour implorer le Dieu de miséricorde, l’innocent pour chanter le Dieu de bonté.

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