IV Enfin, observation dernière, il n’y a pas que les points de vue qui soient nouveaux dans cette histoire, où l’imagination et les raisonnements de l’auteur frétillent allègrement comme le poisson dans l’eau.
I Ce n’est pas un petit embarras pour la Critique, obligée de resserrer ses observations dans le cadre étroit d’un chapitre, que de parler d’un ouvrage qui compte en ce moment quinze énormes volumes, et cependant il le faut ; c’est de nécessité.
Il a la froideur d’entrailles et l’absence de grande intuition que le Rationalisme remplace par des observations raccourcies.
… Stendhal pouvait pincer cette bouche si ferme qu’on voit dans ses portraits, et garder par derrière sa tête, comme dit Pascal, ces observations qui avaient chez lui l’aigu du stylet.
Mais, dès qu’il s’en allume une, M. de Mouy, comme les bedeaux qui éteignent les cierges dans les églises, ne manque jamais de planter dessus l’éteignoir d’une observation, et, quelquefois, d’une petite critique… « Mon cher fils, mon cher Roi, mon cher Stanislas-Auguste, — écrit un jour Madame Geoffrin, — vous voilà trois personnes en une seule et vous êtes ma Trinité !