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1906. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — B — article » pp. 193-194

Il eût été cependant plus juste & plus honnête de faire connoître au Public à qui il avoit l’obligation de ces morceaux, que de consigner au bas le nom de l’Encyclopédiste, qui n’a pris que la peine de les transcrire ou de les faire transcrire.

1907. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — L — article » pp. 131-133

Un Abbé du même nom, Auteur d’un Ouvrage, intitulé Dialogue entre les Philosophes modernes, publia, en 1779, un Libelle contre nous, sous le titre de Problême littéraire, où il s’efforçoit de prouver qu’un Vicaire de Paroisse, mort deux ans auparavant, & qui n’a pas laissé un seul Prône digne d’être imprimé, étoit l’Auteur des Morceaux les moins foibles des Trois Siecles.

1908. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — P. — article » pp. 520-522

Personne n’avoit moins besoin des ressources du vice, pour plaire & se faire un nom.

1909. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — T. — article » pp. 316-318

Tencin, [Claudine-Alexandrine Guerin de] sœur du Cardinal de ce nom, née à Grenoble, morte à Paris en 1749.

1910. (1908) Jean Racine pp. 1-325

Parthénice était le nom poétique que le jeune abbé Le Vasseur donnait à mademoiselle Lucrèce. […] Ce n’est point une tragédie, bien que Racine l’appelle de ce nom et bien qu’un des personnages y soit tué dans une bataille. […] Jupiter m’a honoré du nom de son fils ; en l’acceptant, je n’ai pas nui, ce me semble, à l’œuvre où nous nous sommes engagés. […] Pour vous en faire quelque idée, il faut que vous songiez à un autre très grand poète, étranger, et que Racine ne connaissait probablement pas même de nom. […] Tout le long du drame vous entendrez ce nom de Rome sonner au commencement des vers ou à la rime inexorablement.

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