Vaublanc, lorsque vous le lisez, vous rappelle involontairement le Julien Sorel de Rouge et Noir et le Fabrice de la Chartreuse de Parme, qui n’est, du reste, que le même homme, C’est le même genre de courage qui raisonne, s’analyse, calcule et se doit de jouer encore la partie, quand elle semble le plus perdue sans ressource. Il y a dans ce terrible livre de Rouge et Noir un moment qui revient sans cesse, à propos de tout, dans le récit de Vaublanc, quand il nous raconte les dangers de sa proscription, en 1793.
On s’étonne que, par opposition au brouet noir de Sparte ; Alcman recommande des mets recherchés et des vins délicieux, comme pourrait le faire Archestrate ou tel autre des beaux esprits alexandrins cités par Athénée. […] « Tout dort cependant », avait dit le poëte grec, « et les cimes et les gorges des monts, et les promontoires et a les ravins, et les plantes et les reptiles que nourrit le sein noir de la terre, et les animaux féroces des montagnes, et la race des abeilles, et les monstres dans les profondeurs de la mer azurée.
Des dizains descriptifs nous montrent le désert, les nomades au seuil ronge et noir de leurs tentes, des femmes en prière sous les dattiers en fleurs ; des sonnets racontent des écrans japonais ; on a l’impression d’un album où des notes rapides ont été, après coup, rehaussées d’un minutieux travail d’aquarelliste.
Horace Valbel Un jour, un après-midi, Brun et quelques amis vinrent au Chat Noir, et profitant de ce qu’ils étaient seuls, ses amis le prièrent de se mettre au piano et de chanter.
Gustave Rivet vient de publier dans un journal où se sont produits tant de véritables poètes : le Chat Noir… qui vient de publier le Petit Testament d’Hector Lestraz, escholier de Paris, par M.