— De la nature des choses, de Lucrèce (traduction). — La Grèce antique (1900).
Eugène Ledrain Nature étrange où les dons les plus divers se mêlent et se confondent, M.
Thomas Braun Naïve, archaïque, enluminée, cette gaucherie d’écriture nous charme lorsqu’elle interprète les chansons de gestes de telles Histoires de France, — elle ne suffit pas à nous lasser d’autres légendes ou récits comme la Huche, l’Embaumeur et les Accordailles dont les trouvailles charmantes et les images délicieuses relèvent l’intérêt ; mais elle devient insupportable dans les descriptions d’une nature sentimentale ou même philosophique.
Evremont, vient de ce que Mairet s’étoit appliqué, dans cette Piece, à rendre les mœurs des personnages conformes à celles de son Siecle, ce qui ne pouvoit manquer de plaire aux Spectateurs : au lieu que Corneille, attaché au vrai goût de l’antiquité, n’avoit pas eu la complaisance de s’écarter de la nature, pour flatter les esprits frivoles.
Il est un des premiers qui ait donné au Public un Cours de Phisique expérimentale, en quoi il a été très-utile à ceux qui veulent étudier la Nature, plus facile à connoître par les effets que dans les causes.