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1827. (1859) Essais sur le génie de Pindare et sur la poésie lyrique « Deuxième partie. — Chapitre XIX. »

Comme l’évêque de Ptolémaïs, sous l’impression du spectacle de la nature mis en rapport avec le cœur de l’homme, il marquait par des hymnes les principales heures et les divisions du temps. […] « C’est la loi donnée de Dieu à notre fragile nature, que ce plaisir qui guérit et tempère la souffrance.

1828. (1759) Salon de 1759 « Salon de 1759 — Drouais »

Cela n’est pas dans la nature.

1829. (1908) Jean Racine pp. 1-325

Si l’on accorde, en effet, que la nature humaine corrompue peut, par elle-même, quelque bien, la Rédemption devient inutile. — Oui, mais si l’on dit que la nature humaine ne peut rien de bon par elle-même, plus de libre arbitre et, par conséquent, plus de mérite […] Le janséniste est l’homme qui pense le plus de mal de la nature humaine et qui a le moins d’illusions sur elle. […] La nature, même sauvage, ne lui déplaît point. […] Ils sont généreux sans effort, mais obstinément et sans retenue, non pas au-dessus, mais, ce qui est encore mieux, en dehors de la nature, de la grossière et méprisable nature. […] C’est ton intention Qui choque la nature et la religion.

1830. (1890) La bataille littéraire. Deuxième série (1879-1882) (3e éd.) pp. 1-303

Daudet, et il a pu travailler d’après nature. […] René Maizeroy, a certainement dessiné son croquis d’après nature. […] Ici, un tableau de maître, peint d’après nature. […] Loin de là, Vivier ne procède que par l’observation, et toute personne qui a su l’écouter, a toujours trouvé, dans les détails d’une historiette d’apparence légère et ingénieuse, une reproduction scrupuleuse de la nature, la fine satire de quelque ridicule de la nature humaine. […] Le mariage est un piège que la nature nous tend.

1831. (1924) Souvenirs de la vie littéraire. Nouvelle édition augmentée d’une préface-réponse

Je fais d’après nature. […] Même en songe, même en dormant, la Nature le poursuivait […] L’esprit de contradiction faisait partie de sa nature. […] Certains mots qu’il a laissé échapper sont peut-être de nature à jeter quelque lueur sur cette tragique énigme. […] Elle n’a pour plaire qu’à laisser rayonner sa nature captivante et maternelle.

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