/ 3570
1456. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — S. — article » p. 292

Sivry, [Louis Poinsinet de] de l'Académie de Nancy, à Paris en 1735.

1457. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — T. — article » p. 364

Tourneux, [Nicolas le] Chanoine de la Sainte-Chapelle, à Rouen en 1640, mort à Paris en 1689.

1458. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — V. — article » pp. 433-434

Vigne, [Anne de la] de l'Académie des Ricovrati de Padoue, née à Vernon, en Normandie, morte en 1684.

1459. (1864) Portraits littéraires. Tome III (nouv. éd.) « Mademoiselle Aïssé »

Mais le lecteur curieux, qui ne veut que son charme, ne peut s’empêcher de dire que tout cela a été bon puisque les Lettres de la Religieuse portugaise en devaient naître. […] Le chevalier Blaise-Marie d’Aydie, vers 1690, fils de François d’Aydie et de Marie de Sainte-Aulaire, était propre neveu par sa mère du marquis de Sainte-Aulaire de l’Académie française75. […] L’abbesse de ce couvent était une fille même de Mme de Villette, née du premier mariage. […] J’ai un sincère plaisir à vous ouvrir mon cœur ; je n’ai point rougi de vous confier toutes mes faiblesses ; vous seule avez développé mon âme ; elle était née pour être vertueuse. […] « Fut baptisé Charles-Augustin, d’hier, fils de messire Augustin de Ferriol, escuyer, baron d’Argental, conseiller du Roy au Parlement de Metz, trésorier receveur général des finances du Dauphiné, et de dame Marie-Angélique de Tencin, son espouse, demeurant rue des Fossez-Montmartre.

1460. (1864) Portraits littéraires. Tome III (nouv. éd.) « M. de Rémusat (passé et présent, mélanges) »

Charles de Rémusat est à Paris sous le Directoire (14 mars 1797) ; ses parents tenaient à l’ancien régime par les manières, par les habitudes, mais sans aucun de ces liens de naissance ou de préjugé qui enchaînent. […] Enfant de ce monde-là, pour avoir grandi au milieu, pour y être , il en a tout naturellement le ton, la légèreté, la causerie sur tout sujet, le sentiment du ridicule ; mais il fait tout bas ses réserves, il a ses idées de derrière la tête (comme les appelle Pascal), et il ne les dit pas. […] En revenant sur un sujet si bien connu de lui, M. de Rémusat retrouverait ses jeunes impressions, ses premières flammes, et il les saurait tempérer de cette lumière plus adoucie qui naît de la perspective. […] Voyez plutôt : s’il se prend à la chanson, il n’a qu’à se ressouvenir pour nous raconter comment elle naît ; s’il parle d’élégie, il a tout bas soupiré la sienne ; s’il apprécie le drame, il l’a pratiqué et a eu ses répétitions à son usage ; en philosophie, il est expert. […] C’est dans le temps de ce travail et des discussions approfondies d’où il est , que M.

/ 3570