Il veut représenter les apparences de la vie, faisant entendre par les mouvements, par les actes, les ressorts et les forces intimes de la conscience.
La scène durait une heure entière, avec toute sorte de mouvements pathétiques et des redoublements de menaces.
C’est pour cela que les rimes mêlées lui réussissent mieux que l’alternative des féminines et des masculines, les vifs mouvements des vers inégaux que la gravité de l’alexandrin, le vers de dix syllabes que tous les autres.
Il n’y a pas à raisonner avec celui qui pense que l’histoire est une agitation sans but, un mouvement sans résultante.
Est-ce un imbroglio de mouvement et de pétulance ?