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891. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — H — article » pp. 476-477

Mais bien vertu excellente, haultaine, Qui fait des Grands la naissance florir, Qui sous le pied met l’envie & la haine, En s’attachant à ce qu’on doit chérir ; Vertu qui vient d’une source certaine De vérité, non sujette à mourir.

892. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — S. — article » pp. 290-291

Il fut de l'Académie Françoise, & mourut en 1749.

893. (1898) XIII Idylles diaboliques pp. 1-243

Ils nous exhortèrent à bien mourir, fermes dans notre conviction, et ils pleuraient. […] Qui sait combien meurent, — comme lui à cette heure même ? […] Il est évident qu’ils ont tort de ne pas mourir de faim sans protester. […] Mourir de faim ? […] On ne meurt pas de faim au xixe  siècle.

894. (1881) Études sur la littérature française moderne et contemporaine

Sa première femme étant morte moins d’un an après son mariage, il en prit une autre qui mourut aussi. […] La haine est morte ! […] Il meurt. […] Un mot n’est rien d’absolu, c’est un phénomène historique, il est né, il vit, il mourra. […] … Je meurs de souffrance, ennui, mal de tête, rhumatisme, fièvre, estomac et goutte.

895. (1890) Impressions de théâtre. Quatrième série

Il mourut en Sicile, exilé (on ne sait pourquoi). […] Né Athénien, il mourut dans les plaines fécondes de Géla. […] je te remercie, je vais mourir. […] — Peut-être. — Et, dans ce cas, faut-il qu’André meure ? […] » et « mourir ! 

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