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729. (1913) Le mouvement littéraire belge d’expression française depuis 1880 pp. 6-333

Contre la mort, notre volonté se brisera nécessairement. […] Mort mystique d’un théologien. […] Paris, Mercure de France, 1898. — La Mort aux berceaux. […] Bruxelles, Kistemaeckers, 1881. — Le Mort. […] La Vallée heureuse, « La Mort d’Ophélie ».

730. (1888) Impressions de théâtre. Deuxième série

Il est mort à quarante-six ans. […] L’Amour est mort, vive l’Amour !  […] Je la crains infiniment plus que la mort. […] Mais Scarpia l’a trompée ; Mario est bien mort. […] Ce poète aspire à la mort et au néant.

731. (1905) Études et portraits. Sociologie et littérature. Tome 3.

Il n’a pu acquérir par son enseignement cette vogue parisienne qui fut celle d’un Claude Bernard ou d’un Trousseau, pour ne parler que des morts. […] De son vivant et depuis sa mort, on s’est beaucoup moqué de ses théories sur la noblesse. […] Les morts ont une hypothèque imprescriptible sur la propriété des vivants. […] La personnalité morale d’une ville et, d’un pays est faite du souvenir de leurs grands morts. […] Il est mort d’avoir voulu prolonger cette gageure.

732. (1892) Essais sur la littérature contemporaine

C’est alors que la mort peut venir, ou plutôt c’est justement là ce que les hommes appellent la mort, quoique ce ne soit, si l’on y réfléchit, que le terme de la perfection. […] Pourquoi la mort ? […] Ils appellent à eux la Mort : La Mort, l’auguste Mort… Non celle qu’imagine, infecte, blême, osseuse. […] Mais pourquoi la Mort s’est-elle arrêtée ? […] Car, vous ne croyez pas sans doute, — je ne nomme ici que des morts, tout à fait morts, — vous ne croyez pas qu’ils eussent l’âme noble, les La Harpe ou les Fréron ?

733. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — C — article » p. 438

Capperonnier, [Jean] Professeur de Langue Grecque au Collége Royal, Garde de la Bibliotheque du Roi, de l’Académie des Inscriptions & Belles-Lettres, né à Montdidier en Picardie, mort à Paris en 1774 ; un des Savans de nos jours qui joignent le mérite des connoissances profondes au talent de les faire valoir. […] C’est à un de ses parens [Claude Caperonnier, mort en 1744], qu’il succéda dans la Chaire de Professeur en Grec au Collége Royal ; ce qui prouve que l’érudition est en quelque sorte héréditaire dans cette famille.

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