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2231. (1863) Cours familier de littérature. XV « LXXXVIIIe entretien. De la littérature de l’âme. Journal intime d’une jeune personne. Mlle de Guérin » pp. 225-319

« Il faut que j’écrive à Philibert. » XXX Le commencement d’avril recommence les choses, mais la vie morale est si pleine qu’elle n’ennuie jamais.

2232. (1865) Cours familier de littérature. XIX « CXe entretien. Mémoires du cardinal Consalvi, ministre du pape Pie VII, par M. Crétineau-Joly (2e partie) » pp. 81-159

« Ainsi se termina cette triste séance de vingt-quatre heures entières, commencée vers les quatre heures du jour précédent et close vers les quatre heures de ce malheureux jour, avec une grande souffrance physique, comme on le comprend du reste, mais avec une bien plus grande souffrance morale, et telle qu’il faudrait la ressentir pour s’en faire une idée.

2233. (1865) Cours familier de littérature. XX « CXIXe entretien. Conversations de Goethe, par Eckermann (1re partie) » pp. 241-314

VI Goethe avait écrit vers 1792 le roman étrange et poétiquement populaire de Werther, comme Schiller avait écrit les Brigands : deux œuvres inexplicables et en dehors de toute vue morale ; de l’art pur, où la force de la passion conduit les jeunes héros de Schiller au crime, et le héros mélancolique de Goethe au suicide.

2234. (1922) Enquête : Le XIXe siècle est-il un grand siècle ? (Les Marges)

Ne voyez là, — parmi tant d’autres, — que l’un des signes, mais, à vrai dire, des plus graves, de l’incapacité où nous sommes présentement de ne point confondre la littérature et, d’une manière plus générale, l’art avec la morale, la politique et même la théologie.

2235. (1888) Revue wagnérienne. Tome III « VIII »

Jamais on ne pourra en déduire une morale.

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