/ 2310
551. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — V — Vandeputte, Henri (1877-1952) »

car, à cause de cette confiance, on est plutôt disposé à ne pas lui tenir rigueur de tout ce qui se trouve dedans de mauvais, de négligé, d’agaçant.

552. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — S. — article » pp. 169-170

Les Epîtres du Professeur de Tournon sont moins mauvaises, &, par une méprise singuliere, moins vantées que ses Odes.

553. (1913) Essai sur la littérature merveilleuse des noirs ; suivi de Contes indigènes de l’Ouest-Africain français « Contes — VI. Le canari merveilleux. »

Et, par reconnaissance, elle n’oublia jamais, chaque fois qu’elle mangeait son couscouss, d’en donner la première et la dernière poignée au gros chien noir qui l’avait tirée de ce mauvais pas.

554. (1886) Les contemporains. Études et portraits littéraires. Première série

Mais il aime mieux déduire de combien de façons les autres sont mauvaises. […] Zola d’immoralité et de croire qu’il spécule sur les mauvais instincts du lecteur. Au milieu des basses priapées, parmi les visions de mauvais lieu ou de clinique, il reste grave. […] et n’est-ce pas surtout par elle que le monde est mauvais ? […] Bonne ou mauvaise, je ne sais ; à coup sûr dissolvante, destructrice du vouloir et menaçante pour la foi morale.

555. (1782) Essai sur les règnes de Claude et de Néron et sur la vie et les écrits de Sénèque pour servir d’introduction à la lecture de ce philosophe (1778-1782) « Essai, sur les règnes, de Claude et de Néron. Livre premier. » pp. 15-203

Les meilleures opérations se font quelquefois sous les plus mauvais règnes, et réciproquement. […] On impute aux mauvais conseils de Pallas le peu de succès de la parure, et Néron dit de cet affranchi disgracié : Pallas vient d’abdiquer. […] S’il fut éloquent, il faut avouer que personne ne fit un plus mauvais usage de l’éloquence. […] Quel est celui qui, sans être un sot, ne s’est jamais trompé dans la bonne ou mauvaise opinion qu’il avait conçue des hommes ? […] On n’est accablé de la mauvaise fortune que quand on a été dupé par la bonne. » Consolation à Helvia, chap. v.

/ 2310