Plusieurs de ses Dissertations, insérées dans les Mémoires de l’Académie des Inscriptions, intéressent par l’utilité & le plaisir qu’on trouve à les lire ; il a su y répandre des recherches lumineuses, une critique saine, des réflexions utiles, une méthode & une clarté qui instruisent le Lecteur, sans lui faire acheter l’instruction par l’ennui.
Les Anglais donnent à toutes leurs idées des développements aussi étendus que ceux d’un instituteur parlant à ses élèves : c’est peut-être un meilleur moyen d’éclairer la masse d’une nation ; mais la méthode philosophique ne peut acquérir ainsi toute sa perfection. […] Je n’examine point ce qui est préférable pour le bonheur national ; mais l’art d’écrire et la méthode de composer ne peuvent se perfectionner, en Angleterre, jusqu’au point où l’on devait arriver en France, lorsque les écrivains visaient toujours et presque exclusivement au suffrage des premiers hommes de leur pays.
Cela, qui laisse déjà deviner quelque divergence dans la « méthode d’art » de ces poètes, trouve encore son explication dans leur philosophie. […] Cette opposition, qu’on retrouverait aussi dans le caractère des deux hommes, me paraît assez nettement sensible pour que, au long des pages de cette étude, je ne croie pas nécessaire de la rappeler chaque fois qu’elle peut se sous-entendre ; je n’indiquerai que sommairement en elle la cause des oppositions secondaires de méthode, de réalisation lyrique et plastique et de technique de MM. de Régnier et Griffin.
Mais comme la méthode de dicter consume en pure perte un temps précieux, que je la bannis de toutes les écoles et que l’étendue des matières la rend souvent impraticable, il faut y suppléer par clés ouvrages imprimés. […] tilités des casuistes du dernier siècle, pour s’attacher à la méthode de Sainte-Beuve107, des Conférences d’Angers, de Paris, etc.
Il est vrai que l’auteur s’est épargné la peine des liaisons et de la fonte ; mais la méthode et la chaleur sont peut-être incompatibles. […] Quoiqu’en tout la méthode d’éducation proposée par J.