Certes, s’il fut un livre sincère, un livre d’homme à homme, c’est celui-là. […] Ce livre n’est pas près d’être un chef-d’œuvre. […] Ce livre, daté de 1884, en est la vivante preuve. […] Il faut lire, dans le livre de M. […] Ce livre, qui n’est pas un livre, me séduit par ce charme d’une nuance fine.
Le livre de M. […] Le livre de M. […] Et l’on rencontre dans le livre de M. […] La Pologne s’insurge deux fois dans le livre de M. […] Mais, à en juger par le livre de M.
Beyle, ou Stendhal (car les éditeurs lui ont conservé, à ce maniaque de pseudonymes, le nom de guerre sous lequel il a composé ses plus beaux ouvrages), fut un écrivain très peu connu de son vivant, qui a publié, de 1820 à 1841, les livres les plus spirituels. […] Ce devait être un livre à part, comme son auteur, — qui ne fut point un écrivain dans le sens notoire et officiel du mot, qui n’en eut ni les mœurs, ni les habitudes, ni l’influence, ni l’attitude devant le public. […] Dans cette correspondance qui n’est pas un livre, qui n’est pas une convention, qui a chance par conséquent d’être plus vraie qu’un livre, d’être moins concluante, moins combinée, moins volontaire, Stendhal ne fait pas une seule fois ce que les plus grands génies — des génies bien supérieurs à lui — ont fait si souvent dans le tête-à-tête d’une correspondance libre et amie. […] Il nous parle quelque part, dans un de ses livres, des conscrits qui, à l’armée, se jettent dans le feu par peur du feu. […] C’est cette plume qui ne s’est jamais amollie, même quand elle a voulu être tendre, que la Correspondance de Stendhal montrera mieux encore que les livres qu’il nous a laissés.
Seulement, avec ou sans nom d’éditeur, il n’en reste pas moins incroyable qu’un livre sur Madame Récamier ne soit pas plus intéressant que ces deux volumes ! […] Même des faits inconnus, et, par cela, d’un intérêt qu’on peut évaluer, ne suffisent pas pour nous montrer dans sa vérité nuancée et profonde, — dans toute sa vérité morale et historique, — la personne qu’on a suppléée dans des Souvenirs qu’elle n’écrivit pas, et il n’y a pas d’ailleurs de ces faits inconnus dans le livre que voici. […] Tous ces gens-là, dont quelques-uns sont officiellement des génies dans leurs livres, et quelques autres des esprits de la plus brillante fumée de réputation, n’ont plus qu’une élégance uniforme et une politesse effacée dans leurs lettres. […] Nous croyons, nous, et nous soutenons, que des publications semblables, qui promettent par le titre ce qu’elles ne tiennent pas par le livre, ne sont ni plus sauvées, ni plus excusées, ni plus couvertes par les plus attendrissantes intentions que par les avidités de bruit ou d’argent les mieux calculées. On n’a pas le droit, dans quelque hypothèse qu’on se place, de jeter sur la place une somme de livres ennuyeux qui, au fond, ne sont pas des livres, et qu’on n’y aurait jamais lancés si on n’avait pas trouvé dans quelque coin les brouillons des lettres écrites autrefois par ceux dont on a hérité.
Le savant Mauryfeuilletait un livre dans sa mémoire et le lisait avec autant de certitude qu’un livre réel. […] Leurs livres avaient un but édifiant ou démonstratif. […] Un livre que la vénération des siècles a sacré n’est plus un livre ; c’est une partie de la nature. […] Cette partie du livre de M. […] A propos d’un livre de M.