L’épopée a pu être fondue dans le drame, et le résultat, c’est cette merveilleuse nouveauté littéraire qui est en même temps une puissance sociale, le roman.
En effet, déjà les bons esprits reconnaissent unanimement la nécessité de remplacer notre éducation européenne, encore essentiellement théologique, métaphysique et littéraire, par une éducation positive, conforme à l’esprit de notre époque, et adaptée aux besoins de la civilisation moderne.
Parmi les choses, il faut comprendre, outre les objets matériels qui sont incorporés à la société, les produits de l’activité sociale antérieure, le droit constitué, les mœurs établies, les monuments littéraires, artistiques, etc.
Ils avaient fort peu étudié les origines phéniciennes ; ils n’avaient songé qu’à écraser Carthage ; et tous les monuments littéraires de ce peuple malheureux périrent avec lui par la farouche incurie du vainqueur.
Elle est très grande, et, selon nous, trop grande pour que nous abaissions ces publications, importantes au point de vue d’une utilité plus haute que tout, jusqu’à une critique littéraire.