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1772. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — F. — article » pp. 340-342

Tel est, entre autres, son Discours sur la maniere de lire les Vers, remarquable sur-tout par le mérite d’une Versification variée, & par l’art d’exprimer noblement & avec élégance les choses les plus communes.

1773. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — G — article » pp. 380-382

Il ne faut que lire sa Vie, écrite par le P.

1774. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — M. — article » pp. 277-279

Tel est du moins le jugement qu’ont porté de cet Orateur les gens de goût & impartiaux, qui l’ont lu ou entendu.

1775. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — S. — article » pp. 266-268

Tes Ecrits, il est vrai, sans art & languissans, Semblent être formés en dépit du bon sens : Mais ils trouvent pourtant, quoi qu'on en puisse dire, Un Marchand pour les vendre, & des sots pour les lire.

1776. (1870) Causeries du lundi. Tome XIII (3e éd.) « Le maréchal de Saint-Arnaud. Ses lettres publiées par sa famille, et autres lettres inédites » pp. 412-452

… y avoir échappé et venir mourir du choléra… mourir sans la croix, sans avoir lu son nom sur le rapport de l’armée » ; ce sont là ses premiers sentiments. […] Sa conduite dans les journées suivantes lui vaut d’être cité (c’est la quatrième fois) à l’ordre du jour de l’armée : « Mes enfants liront encore le nom de leur père cité au milieu de ceux des bons diables qui se battent pour le pays. » Le général Bugeaud, par une suite d’opérations méthodiques et bien connues, travaille à ruiner la domination et l’influence d’Abd-el-Kader, en attendant qu’on vienne à s’emparer, s’il se peut, de sa personne. […] Tu feras lire cette lettre à ma gracieuse sœur : son âme élevée me comprendra. […] On le lira toujours avec plaisir, même après les grands écrivains militaires, les César, les Montluc, les Villars ; n’ayant pas écrit des mémoires, mais des lettres, il est même le premier des épistolaires de bivouac. […] Il a de l’artiste, du soldat, de l’homme surtout, et si l’on voulait donner à quelque étranger de distinction, à quelqu’un de nos ennemis réconciliés, la définition vivante de ce qu’est un brillant officier français de notre âge, on n’aurait rien de plus commode et de plus court que de dire : Lisez les lettres du maréchal de Saint-Arnaud.

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