Il faut lire, dans le livre même de Caro, les longs chapitres qu’il consacre aux trois maîtres convenus de la philosophie actuelle, et contre lesquels le livre de l’Idée de Dieu est plus spécialement dirigé. […] IV Tel, en résumé, est ce premier volume de l’Idée de Dieu, que je voudrais faire lire par ma manière d’en parler.
Nous l’avons lu, nous dirons ce qu’il est ; mais nous n’avons pas beaucoup d’inquiétude. […] Oui, nous le croyons, tel serait le destin de ce petit livre, si on ne le lisait pas à cette heure et si le succès qu’il mérite n’était retardé par nos prosaïques et vulgaires préoccupations.
Fortuné celui que lu honoreras de ta faveur ! […] Il avait lu dans Archiloque50 : « Confiez tout aux Dieux.
On a lu l’autre soir la pièce chez l’acteur Bocage : il avait invité force notabilités, et l’on a paru content, surtout du cinquième acte.
Je viens de lire le fragment cité par le Globe : cela joue l’antique, mais à faux.